« Être maître de notre chaîne de travail est à la fois une liberté et une grande chance. »
« Au cours de ma formation, j’ai développé un fort intérêt pour la chirurgie du membre inférieur, et notamment la chirurgie prothétique et la chirurgie du sportif. J’ai cherché une place dans le privé pour avoir la maîtrise de mon temps et de mon activité, mais je souhaitais continuer d’exercer en équipe et rester dans la région angevine. C’est donc tout naturellement que je me suis tourné vers la Clinique Saint-Léonard, eu égard à sa réputation d’excellence, son volume d’activité et son équipe pluridisciplinaire.
La Clinique est une structure à taille humaine concentrée autour de spécialistes, ce qui facilite énormément les échanges et la prise en charge de nos patients. Sur le plan relationnel, nous nous connaissons tous et il est très simple de demander son avis à un confrère. Travailler en équipe, auprès d’autres spécialités, est aussi une franche plus-value qui nous permet de prendre en charge des patients de façon globale, pas uniquement sur le plan chirurgical.
Sur le plan logistique enfin, le cabinet de consultation et le bloc sont séparés de 100 mètres, c’est très confortable, et nous disposons sur place d’un cabinet de radiologie, de kinésithérapeutes, d’infirmières dédiées à l’orthopédie.
Que l’établissement soit géré par des médecins a évidemment constitué un argument fort dans ma décision de rejoindre la Clinique. En tant que médecins, nous avons la main sur notre façon de travailler. Or être maître de notre chaîne de travail est à la fois une liberté et une grande chance. Au bloc opératoire par exemple, nous avons le choix de notre matériel. Nous sommes également encouragés à développer des projets axés sur l’amélioration de la prise en charge des patients sans avoir à penser immédiatement à leur dimension financière.
Ici, la philosophe est qu’un projet qui améliore la prise en charge finira forcément par être rentable, en participant à la qualité du travail de l’établissement et à sa renommée. Ces dernières années, la Clinique a par exemple investi massivement dans son offre d’hospitalisation ambulatoire. Nous accueillons aujourd’hui nos patients dans une structure dont les locaux ont été pensés pour eux : leur chambre est prête lorsqu’ils arrivent, puis ils sont pris en charge par une infirmière, qui les conduit au bloc opératoire. Cet accueil de grande qualité leur permet de gérer leur journée d’hospitalisation, qui n’est jamais simple, de la meilleure manière possible avec un certain confort.
Et la Clinique a des ambitions fortes. Nous sommes en plein développement. Le pôle du membre inférieur est en train de se structurer, initialement autour d’un noyau dur constitué des Docteurs Arnaud Hersan et Jérôme Pernin, qui ont souhaité s’entourer de médecins du sport à l’image des grandes structures françaises telles que Lyon et Bordeaux où tous les médecins sont réunis. L’objectif est de grandir et de développer l’activité. C’est un projet excitant qui promet de belles choses pour l’avenir.
